Les propos incorrects prononcés à l'endroit d'un président de l'Assemblée nationale justifieraient, à eux seuls, le rejet de la motion. En abaissant l'un de ses présidents, on abaisse l'Assemblée elle-même, et l'on ne contribue guère à la sérénité des débats dans cette enceinte.
Sans entrer dans la polémique, je souhaite reprendre trois points du discours de l'orateur qui a défendu la motion de rejet, qui nous conduiront à ne pas l'adopter.
Premièrement, monsieur Habib, vous avez estimé que toutes les mesures qui ne font pas consensus devraient être retirées du texte.