J'ai répète ce que j'ai dit à la fin de mon intervention précédente : dans cette affaire, il y a deux responsables, ceux qui sont à la tête du groupe, auteurs de l'idée absolument folle selon laquelle on peut limiter le pouvoir d'amendement des députés, et tous ces députés qui, dans le troupeau, l'ont acceptée sans rechigner, et auxquels il a manifestement fallu deux ans pour imaginer changer une règle.