Je vais reprendre des propos que je vous ai tenus en tête-à-tête, monsieur le président.
Même si des convergences peuvent parfois exister, nous sommes des opposants politiques. J'apprécie votre présidence, je sais qu'une fois le nouveau règlement voté, vous aurez l'intelligence et l'ouverture d'esprit d'accorder un temps de parole supplémentaire s'il le faut. Je ne mets pas en doute cette volonté-là, mais, comme je vous l'ai dit hier à la fin de mon intervention : demain est un autre jour et l'on ne sait pas qui sera demain à votre place, quelle sera la majorité.