Madame la ministre, vous nous avez apporté une réponse qui est aussi le début d'une interrogation. Vous avez mentionné un produit spécifique, mais on pourrait aussi vous citer de grandes plateformes de vente qui n'ont pas la même sensibilité RSE que les producteurs de fraises.
L'important, c'est que le débat ait pu être ouvert. Comme je vous l'ai dit tout à l'heure, il s'agit d'un transfert de fiscalité et non d'une taxation supplémentaire. Je retire donc cet amendement, qui pourra faire l'objet d'une nouvelle discussion en séance publique.