Cet amendement vise à préserver l'activité de l'aéromodélisme, victime collatérale de la réglementation par ailleurs légitime d'une activité pourtant très différente – les drones. En effet, ces deux pratiques se distinguent nettement tant du point de vue des modes techniques et d'apprentissage que de celui de l'autonomie des objets volants et de l'encadrement de l'activité.
Cet amendement vise non seulement à maintenir un loisir mais aussi une économie, une pratique touristique et la formation aux conditions des techniques de vol – l'aéromodélisme étant, pour de nombreux jeunes, le premier contact avec la pratique de l'aéronautique.