Il porte sur l'organisation de nos débats.
Le vote étant engagé, nous n'avons pas pu évidemment interrompre le scrutin public qui vient de se dérouler. C'est dommage, car certains amendements défendus auraient peut-être permis de trouver, ne serait-ce que partiellement, une voie de sortie sur l'article 8.
C'est ainsi : n'obérons cependant pas les éventuelles chances de succès pour la suite. Nous sommes convenus de faire preuve d'apaisement, chacun étant prêt à réfléchir et à s'abstenir de noircir la situation.
Compte tenu de la nature des débats et du fait que les esprits se sont un peu échauffés, même si la pression redescend un peu, si nous voulons mener un travail de rédaction objectif et serein, ou en tout cas tenter de concilier des points de vue peut-être peu compatibles, je crois qu'il serait bon, monsieur le président, et je le demande officiellement au nom de mon groupe, de lever la séance. Reprenons après avoir pu y travailler, demain après-midi, après les questions au Gouvernement.