Monsieur le président-directeur général, vous projetez une augmentation du trafic de 40 millions de passagers grâce au nouveau terminal de l'aéroport Charles-de-Gaulle. Vous avez également, comme vous venez de le dire, un objectif de neutralité carbone d'ici à 2030.
Cela étant, le « tout kérosène » et les variations du cours du baril sont des problèmes pour le climat, pour le prix des billets et peut-être, à terme, pour vous, pour le trafic. La taxation du kérosène pourrait forcer l'émergence de carburants alternatifs – comme le bio-kérosène ou l'hydrogène – ou même accélérer le développement d'avions électriques. EasyJet avait fait des annonces. Comment pouvez-vous, à votre niveau, favoriser cette transition écologique dont bénéficieraient tant le climat que le trafic ?