Je pense à la transformation du CICE – crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi – en allégements de cotisations, à la réforme de la taxation du capital pour permettre plus d'investissements dans les entreprises ou aux ordonnances travail pour la réforme du marché du travail. Je veux signaler que l'étude d'EY indique que l'un des obstacles à l'attractivité française résidait dans des problèmes de flexibilité du marché du travail. Je pense encore à l'investissement massif dans les compétences.