Sur cette somme, pour un euro placé en France, un euro part à l'étranger. Notre proposition, qui sera examinée un peu plus loin, est de retirer, pour cet euro qui part à l'étranger, l'avantage fiscal qui lui est attaché, de sorte que la masse du capital qui se trouve là soit investie de manière productive en France. Y a-t-il une objection à cette idée ? L'assurance vie ne doit pas être simplement perçue comme une espèce d'aiguillage qui permet de se défausser de ses obligations fiscales.