Je crois que, sur un sujet aussi sensible que celui-là, il ne faut pas caricaturer les positions des uns et des autres. Nous nous trouvons face à deux principes qui s'opposent.
Le premier principe, c'est qu'il est intolérable que l'on empêche ou que l'on entrave, sur le territoire national, la libre circulation de femmes et d'enfants. Cela va de soi, quelle que soit leur situation, régulière ou non.
Et puis il y a un deuxième principe : c'est qu'il n'est pas tolérable non plus que des personnes en situation irrégulière bénéficient de réductions tarifaires financées avec l'argent public, si l'on veut bien considérer qu'il est respectable et payé par chacune et chacun des Français qui sont éligibles aux contributions.
Quand deux principes s'opposent fondamentalement…