Si, un jour, certaines d'entre elles changent d'avis, parce qu'elles estimeront que les conditions seront réunies pour instaurer la gratuité, alors elles le feront. Mais ce n'est pas encore à l'ordre du jour. Que l'on ne nous dise donc pas d'agir dans un sens ou dans l'autre : laissez-nous gérer les transports.