Reconnaissez, madame la ministre, que nous ne pouvons pas nous satisfaire du statu quo. Je souhaite que nous allions vraiment plus loin et que nous prenions la situation à bras-le-corps parce qu'elle est de plus en plus difficile pour ceux de nos concitoyens concernés qui prennent le métro parisien.
J'entends néanmoins la difficulté causée par la lourdeur des travaux sur des structures anciennes qui n'ont pas été conçues à cette fin, et je retire mon amendement, même si, je le répète, le statu quo n'est pas satisfaisant.