Une contribution exceptionnelle est donc envisageable, et nous y travaillerons faute d'autre solution.
Enfin, j'ai déjà engagé des discussions avec la Commission européenne pour expliquer que l'annulation de cette taxe et le remboursement de 10 milliards d'euros représentent un événement exceptionnel auquel nous ferons face – car nous ferons face ! En effet les solutions que nous allons trouver ne devraient pas nous empêcher de sortir l'année prochaine de la procédure pour déficits publics excessifs – en tout cas, nous y travaillons.