Monsieur Faure, je vous remercie pour la sobriété de vos propos. Néanmoins je voudrais vous dire que nous n'avons pas la même conception de l'État. J'ai été directeur de cabinet d'un Premier ministre. Je peux vous dire que lorsque la responsabilité doit jouer, ce n'est pas sur le directeur de cabinet ni sur le conseiller technique ni sur le secrétaire général adjoint qu'elle doit peser, mais sur le ministre, le Premier ministre ou le Président de la République.