La filière s'est dotée de protocoles, notamment d'un partenariat qui prend la forme d'une convention signée par les syndicats de la filière aval et la direction générale de la concurrence. Ce partenariat prévoit la formation des agréeurs, qu'assure en grande partie le centre technique des fruits et légumes. Ces protocoles prévoient des normes ainsi qu'une analyse phytosanitaire.
La première règle est donc celle de la mise en conformité aux normes. Les produits peuvent certes présenter des défauts qualitatifs ou un calibre non conforme, car le paramètre qualitatif n'est pas le seul à pouvoir justifier un rejet de la marchandise.
Quoi qu'il en soit, le transfert de risque et de responsabilité survient dès lors que le produit entre chez l'acheteur, que ce soit la grande distribution, un grossiste ou un détaillant.