Mes questions concernent la prime à la conversion des véhicules, mise en place en 2018. C'est un dispositif assez consensuel car, bien calibré, il est susceptible de favoriser l'acquisition de véhicules plus propres – y compris d'occasion –, de contribuer à la baisse des émissions de polluants et à l'amélioration de la qualité de l'air. Je comprendrais que vous n'ayez que des éléments partiels et non stabilisés de réponse. En 2018, combien de véhicules ont été mis au rebut ? Quelle proportion de ménages non imposables a bénéficié de la prime ? Y a-t-il des spécificités de répartition régionale, certaines régions ont-elles davantage utilisé ce dispositif que d'autres ? La dynamique se poursuit-elle au cours du premier semestre 2019 et l'objectif du Gouvernement, qui est d'atteindre encore plus de ménages, vous semble-t-il réalisable ?