De même, vous savez – et j'aurai l'occasion de le répéter demain – que notre objectif n'est pas vraiment de continuer ce qui se fait depuis des années, à savoir d'essayer de corriger, par des mesures de dépense publique et autres, les inégalités de départ, qui sont massives. La vérité est que les inégalités primaires sont considérables en France, et que l'ensemble des politiques publiques essaient de les réduire au cours de la vie. Nous souhaitons changer de logique, ce qui est difficile, je le reconnais, en transformant les choses afin que les inégalités de départ soient nettement moins fortes.