Oui, monsieur le ministre, c'est un choix. Je ne vois pas pourquoi vous évoquez la TVA, mais puisque vous le souhaitez, parlons-en. Le choix que nous avions fait était axé sur la compétitivité. Il s'agissait de financer des baisses de charges patronales au-delà de ce qui était prévu par le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi, le CICE.