Il acte la nécessité d'une information visant à encourager la pratique des mobilités actives. Il va ainsi dans le sens des amendements de mes collègues, notamment François-Michel Lambert, qui a souligné le message positif envoyé à ceux qui pratiquent les mobilités actives, ou Régis Juanico, qui a évoqué l'importance d'une telle information s'agissant de l'activité physique et de la santé.
Alors que l'article 26 AB nous renvoie à un décret pour fixer les conditions de l'obligation d'information, cet amendement en précise le dispositif, pour encourager la pratique des mobilités actives sans conséquences sur l'environnement et pour améliorer la santé, en luttant contre la sédentarité.