Je constate une grande incohérence. Une bonne partie des véhicules en question font l'objet d'un malus. Comme l'évoquait un de nos collègues, on aurait pu se pencher sur les seuils de déclenchement du malus – je suis ouverte à toute discussion sur le sujet. Que l'on puisse, aujourd'hui encore, assurer la promotion de véhicules faisant l'objet d'un malus, que l'on puisse vendre, en France, autant de pick-up – lesquels polluent énormément et, pour une part d'entre eux, sont exonérés de la taxe sur les véhicules de société et du malus – que de véhicules électriques est incompatible avec la situation d'urgence que nous connaissons.