On ne peut pas dire, d'un côté, que l'on attend le résultat d'un débat pour décider d'une véritable politique familiale et, de l'autre, poursuivre les coups de rabot appliqués depuis cinq ans, lesquels ont conduit à amputer la politique familiale de 4 milliards d'euros.
Je souhaite donc que cette réflexion soit menée à son terme la semaine prochaine, et que soit prise la décision sage de retirer l'article 26 du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.