J'ai le plaisir de présenter cet amendement qui réaffirme la nécessaire prise en compte des vibrations dans les nuisances engendrées par l'exploitation des lignes ferroviaires à grande vitesse. Si les vibrations peuvent résulter du bruit, elles peuvent également avoir d'autres sources, dont les ondes de propagation, qu'il faut prendre en compte spécifiquement.
L'amendement propose d'ouvrir une concertation avec les parties prenantes pour définir, d'ici à la fin de l'année prochaine, des méthodes d'évaluation des nuisances vibratoires. Un arrêté consacrera leur mesure. Il s'agit d'une véritable reconnaissance des problèmes rencontrés par nos concitoyens, dont les murs se lézardent à mesure que le trafic ferroviaire se développe.