Les choses doivent être nommées et nous souffrons aujourd'hui des effets de la novlangue puisque nous ne savons plus désigner clairement quoi que ce soit. En particulier, les territoires auxquels il est difficile d'accéder ont besoin d'une reconnaissance particulière dans la loi.
M. Saddier a donc déposé deux amendements en ce sens, le premier visant à ce que soient prises en considération les zones frontalières – notamment le nord de la Haute-Savoie qui rencontre des difficultés particulières, et le second, no 173, au sujet des zones de montagne, qui font l'objet d'un texte particulier, et dont la spécificité en matière d'accessibilité, différente de celle des zones rurales par exemple, doit être reconnue.