Nous discutons du titre consacré aux investissements de l'État dans les transports. La priorité est clairement donnée aux solutions alternatives à l'usage individuel de la voiture. Une réflexion est engagée sur la participation des modes de transports les plus polluants au financement des infrastructures et des mobilités plus propres. Nous allons la poursuivre dans les heures qui viennent, à n'en pas douter.
Nous ne voulons pas mettre à terre ou en difficulté des pans entiers de notre économie qui font face à une concurrence étrangère n'apportant aucune plus-value écologique. Avis défavorable.