Je parle de la privatisation d'Aéroports de Paris à laquelle s'opposent, en ce moment même, des dizaines et peut-être des centaines de milliers de personnes, qui voudraient signer la pétition.
Il y a deux hypothèses. La première est l'incompétence. « Grand diseux, petit faiseux », dit-on dans mon coin : cela s'applique peut-être à la « start-up nation » ! Seconde hypothèse : la mauvaise volonté. Les dysfonctionnements ne seraient pas dus à des bugs ; ils seraient volontaires. Si c'est le cas, je puis vous assurer que la manoeuvre sera contre-productive car, en énervant les gens, elle les motivera encore plus.
Vous êtes capables, je pense, d'organiser un véritable référendum d'initiative partagée, avec des outils numériques qui fonctionnent, par exemple sur les téléphones portables.