Nos échanges sont plutôt courtois et de bon niveau, et nous pouvons nous en féliciter. Libre à vous de contester le bien-fondé de l'amendement de M. Wulfranc, mais, sur le fond, l'intervention de M. Ruffin – dont je ne partage pas toujours le style et le ton – s'y rapporte tout à fait, dès lors que l'on envisage de donner une délégation de service public à la société Aéroports de Paris privatisée. Je ne vois donc aucun motif de s'agacer.
Les questions posées par François Ruffin sont d'autant plus pertinentes que le Premier ministre a annoncé, hier, qu'une réforme constitutionnelle inclurait le sujet du RIP.