Nous défendons cet amendement pour deux raisons. La première est d'ordre économique : il s'agit de ne pas construire des tronçons privés et payants là où existent des routes nationales ; il faut pouvoir circuler sans avoir systématiquement à passer par des péages. La seconde raison touche à l'environnement : compte tenu de l'ambition affichée hier par le Premier ministre à la tribune, nous devons avoir pour principe de ne plus construire de nouvelles autoroutes afin de favoriser au maximum les transports en commun.