Oui : selon la proposition minimale que nous ferons, la moitié de cette taxe pourrait entretenir le réseau fluvial français et sa totalité permettrait d'abonder un plan d'investissement pour le futur.
Je vous le demande donc en conscience : à l'heure de la crise écologique et climatique, comment expliquerons-nous que nous avons continué à détaxer des vols aériens, pour lesquels il existe des solutions de rechange, en laissant nos réseaux fluvial et ferroviaire se dégrader de façon parfois irréversible alors qu'ils seront certainement des atouts pour le futur ?