Laissez-moi parler, s'il vous plaît. On vous demande d'instituer un moratoire, pas de faire un mea culpa ni d'établir les responsabilités des uns et des autres – en ce qui nous concerne, nous ne les partageons pas, notamment en ce qui concerne le tout TGV – dans la politique menée par le passé.
Vous nous dites que nous avons raison de demander le redéploiement des petites lignes ; …