Cet amendement vise à ce que « l'État demande à l'opérateur ferroviaire public de coopérer avec les opérateurs ferroviaires qui en feraient la demande, afin de développer des lignes de trains de nuit internationales ». L'État doit persuader l'opérateur national de travailler avec ses partenaires européens au développement des trains de nuit. J'imagine que ce sujet sera traité dans le rapport que le Gouvernement présentera l'année prochaine – peut-être même y aura-t-il, à terme, des ouvertures à la concurrence. Il faut en tout cas pouvoir prendre langue avec nos partenaires européens pour que les trains de nuit aient une chance d'exister.