Parce que nous avons eu, à cette époque, le courage politique de croire que nous pouvions poursuivre l'ouvrage de ceux qui avaient construit quelque chose, plutôt que d'engraisser des intérêts privés qui gagneront beaucoup d'argent en construisant un tunnel mais qui n'apporteront que peu de réponses aux réels enjeux de transport dans ces territoires et, de façon plus globale, entre la France et l'Italie.