J'en ai parlé précédemment, madame la ministre : dans le cadre d'une prévision budgétaire – un cadre que je connais bien pour avoir été maire – , il aurait été plus simple d'inscrire dans le texte, s'agissant des dépenses de l'AFITF, un montant de 3 milliards d'euros par an, quitte à adapter ensuite, en crédits de paiement, ce montant aux dépenses réelles.