Pas seulement : ils concerneraient tous les vols. D'ailleurs, quid des outre-mer ? Or, je crois que ni vous, chers collègues, ni moi, ne souhaitons impacter nos liaisons ultramarines.
Je conclurai là-dessus pour l'heure : il faut examiner la situation en détail, avec plus de finesse. Nous aurons tout loisir de le faire demain.
Nous évoluons dans le contexte européen et soutenons, à l'échelle de l'Union, la participation de l'aérien à la transition des mobilités. Il n'est pas question de pénaliser les compagnies aériennes françaises ni de favoriser un report contre-productif sur les hubs des pays voisins. Je vous propose de poursuivre la réflexion dans ce sens.
En attendant, je vous suggère de retirer l'amendement.