Il s'agit de faire en sorte que, parmi les parlementaires qui siégeront au COI, il y ait des représentants des groupes d'opposition. Nous avons tous à gagner à une telle pluralité. La démonstration en a été faite à travers nos travaux ainsi qu'à travers la participation aux Assises nationales de la mobilité de nombreux parlementaires qui, bien que n'appartenant pas à la majorité, y ont apporté leur contribution. Il convient de veiller à ce que les réflexions conduites au sein du Conseil reflètent la diversité de nos origines, de nos expériences et de nos horizons politiques. Si l'on veut renforcer le COI, c'est important.