À travers cet amendement, M. Saddier propose, avec raison, que, dans un délai de six mois à compter de la promulgation de la loi, le Gouvernement remette au Parlement un rapport sur les vitesses maximales autorisées des véhicules et, surtout, sur les contraventions pour excès de vitesse. On pourrait en effet s'attendre à ce qu'il y ait plus de recettes en la matière et imaginer que l'argent supplémentaire soit affecté à l'entretien des routes, notamment nationales.