Nous avons débattu du CAS Transition énergétique en commission et en séance et nous avons vu à quel point il était dangereux de résumer la politique de transition énergétique à ce CAS – quoiqu'étant dans l'opposition, je ne le fais pas. Certes, le CAS permet de lier certaines dépenses à des recettes, mais sans doute y a-t-il quelque chose à modifier.
Quant aux OAT vertes, Mme Peyrol a évidemment raison. On peut toujours ajouter des crédits budgétaires aux ressources qu'elles procurent ; elles ne suffisent pas, à elles seules, à financer toutes les dépenses vertes. Il s'agit là d'arbitrages budgétaires.