Je voudrais revenir sur ce qu'a dit Valérie Rabault à propos de la perte de dividendes résultant des privatisations, car je n'ai pas bien compris votre réponse. Je chiffre la perte à au moins 400 millions d'euros. Je n'imagine pas qu'il n'y ait pas eu d'étude d'impact sur ce sujet. Comment compenser le manque à gagner ?
S'agissant du projet d'alliance Chrysler-Fiat-Renault, on peut anticiper, très logiquement, une baisse du poids de l'État dans la gouvernance du nouvel ensemble et des délocalisations via des mutualisations de l'outil de production à moyen terme. Comment l'État voit-il cette question ? Le conseil d'administration vous a-t-il transmis des études d'impact sur ce sujet ?