C'était effectivement au-dessus de 1 200 euros ; désormais, c'est au-dessus de 2 000. Eh bien oui, nous assumons l'idée selon laquelle des retraités touchant plus de 2 000 euros par mois se trouvent, du point de vue du pouvoir d'achat, dans une situation meilleure, et même assez significativement, que celle des actifs. Nous assumons donc également l'idée selon laquelle les retraités les plus aisés doivent participer à l'effort qui est demandé pour augmenter le pouvoir d'achat des classes moyennes et des actifs. Il n'est pas possible de considérer de manière homogène l'ensemble des retraités : le faire, ce serait tout à fait démagogique.