Merci, Messieurs les rapporteurs. Je tenais à préciser qu'en ce qui concerne les parlementaires de la Commission des affaires européennes du Bundestag, il n'y a pas de remise en cause du siège de Strasbourg, comme en témoigne l'organisation sur place de notre première réunion commune de la législature. Il ne faudrait pas surestimer la portée de propos tenus dans le cadre de débats internes, ou surestimer l'impact de ce qui pourrait être considéré comme une maladresse. En revanche, il faut insister sur le premier rôle que doivent avoir les parlementaires français élus au Parlement européen, sans que cela ne puisse apparaître comme une forme d'égoïsme national. Sans les députés européens, nous ne pourrons porter ce message en Europe.