Il y en a encore plus dans les Hautes-Alpes et dans le Vaucluse que dans la Drôme ! Dans toutes les régions où le maraîchage et l'arboriculture sont importants, le phénomène est particulièrement prégnant – sans oublier, évidemment, les régions viticoles.
Nous vous proposerons donc, mesdames et messieurs les députés – je ne sais pas si vous le voterez –, de pérenniser du dispositif TO-DE.
Vous avez parlé des vendanges abondantes, monsieur le rapporteur général : c'est effectivement ce qui s'est passé. Nous avons été, en quelque sorte, dépassés par notre succès. Nous verrons ce que l'analyse fine nous révélera, mais la principale explication de l'augmentation des TO-DE est bien celle que vous avez donnée : l'année dernière, nous avons eu la chance – car c'est bel et bien une chance pour notre pays – que les vendanges se soient très bien passées, ce qui a nécessité beaucoup de main-d'oeuvre.
Je ne suis pas en mesure de vous répondre immédiatement concernant le PIF. Je vous propose de vous faire passer une note un peu plus tard.
Tout le monde est d'accord pour supprimer les niches fiscales...