Le Défenseur des droits a reçu des appels à l'aide d'usagers qui ne parviennent pas à trouver un nouveau médecin traitant, un spécialiste ou un infirmier à domicile. N'est-il pas temps de passer à des mesures de coercition, que je qualifierai de douces, seulement pour quelques années, au bénéfice de nos territoires, avec un accompagnement individualisé ? Ce sacrifice me paraît acceptable.
Monsieur le secrétaire d'État chargé du numérique, prenez le temps, grâce à cette proposition de résolution, d'examiner nos remarques. Faites de ce moment de démocratie un moment privilégié d'écoute : ce sont les Français qui vous le demandent.