Ce projet de loi de règlement présente un certain nombre de points positifs.
L'année passée a été marquée par une gestion des dépenses de l'État conforme à la prévision initiale – ce qui n'est pas très habituel. La preuve en est qu'aucun décret d'avance n'a été nécessaire, alors que les gestions précédentes en avaient connu deux, parfois trois. Ainsi, les sous-budgétisations se sont limitées à 1,5 milliard d'euros en 2018. Ce sont toujours les mêmes : les OPEX, pour 600 millions encore…