La vie dans cette maison est parfois étrange.
Il est vrai que nous avons soulevé la question de l'ivresse publique manifeste dans le rapport. De telles tâches mobilisent en effet nos forces de l'ordre pendant des heures, parfois la nuit : elles doivent prendre en charge une personne et attendre aux urgences au lieu d'être sur le terrain. D'après elles, c'est une perte de temps, je vous rejoins sur ce point.
La réflexion est en cours. Il convient que les services sociaux y soient associés, et non les seules polices municipales. Nous devons donc débattre, peut-être aussi au sein de la commission dans laquelle, je crois, siège le maire de Nice – et il importe que cette ville soit associée à cette concertation, monsieur le rapporteur !