J'ai été battu en 2007 : je n'étais donc pas là. Cela étant, si Nicolas Sarkozy n'avait pas pris cette décision en 2011, nous ne serions probablement pas dans cet hémicycle maintenant pour débattre de l'égalité sociale et d'un plan de rattrapage. Soyons fiers de ce qui a été fait ! On dit souvent que les jeunes générations n'ont pas à critiquer ce qu'ont fait les anciens : ils doivent chercher à comprendre et essayer de progresser. Nous sommes donc là pour progresser, pour élaborer un plan, pas pour parler de Nicolas Sarkozy, qui n'est plus aux responsabilités.