Je partage l'avis de Mme Sarles sur la sobriété et la nécessaire intégration par l'ensemble de la collectivité de la maîtrise de l'énergie. Mais outre le fait qu'un rapport me semble peu à même de faire changer les pratiques, la notion d'« usages superflus et non prioritaires » me paraît difficile à appréhender et pour le moins subjective. Je ne suis pas sûr que nous aurions tous le même avis s'il nous fallait définir ce qu'elle recouvre : tout porte à croire, madame Panot, qu'un régisseur de publicité n'aura pas la même position au vous et qu'il jugera ces usages nécessaires… Avis défavorable sur le sous-amendement, ainsi que sur l'amendement.