Enfin, vous prétendez, avec ce texte, traiter la question de l'Alsace, du désir d'Alsace, et pas seulement de la différenciation. J'espère quant à moi, du fond du coeur, que mes collègues alsaciens, très attachés à leur région, ne se satisferont pas d'une Alsace « Canada Dry » qui, à l'issue de la fusion des deux départements, serait simplement un guichet social amélioré à qui l'on aurait confié, en plus, la gestion d'un grand axe routier. J'ose espérer qu'ils ont une autre ambition pour leur région et leurs compatriotes.