… et qui auraient permis de réduire à 50 % la part de l'énergie nucléaire dans notre mix en 2030 au lieu de 2035.
En 2035, je souhaite le rappeler, quarante réacteurs fonctionneront encore et atteindront alors un âge moyen de fonctionnement de 49,3 ans. Dix d'entre eux dépasseront même les cinquante ans de service !
Cela représente un risque de recrudescence d'accidents majeurs, ainsi qu'un surcoût important lié au carénage, le tout au détriment de la transition énergétique vers le 100 % d'énergies renouvelables.