Je comprends mal la réponse de Mme la ministre. Nous sommes ici en présence de propositions qui visent à instaurer un dialogue entre les territoires et le pouvoir central, ce dernier conservant in fine le pouvoir de décision. Or, Charles de Courson vient de le rappeler, chez nous, en Corse, c'est un silence assourdissant ou un refus systématique qui est opposé à nos propositions. C'est bien la preuve que nous sommes très loin du pacte girondin que l'on nous avait promis.