Le 15 avril dernier, en dépit de l'opposition de la France et de l'abstention de la Belgique, l'Union européenne a donné son accord à l'ouverture d'une négociation commerciale avec les États-Unis. En conditionnant son accord au respect de l'Accord de Paris, la France s'impose un peu plus comme un leader de la diplomatie climatique. Nous saluons la détermination du président de la République, mais la décision prise par l'Union européenne montre le chemin qui reste à parcourir pour convaincre nos voisins. Quels peuvent être nos alliés futurs ?