J'ai souligné dans la discussion générale que, compte tenu de la situation du mix énergétique et du report à 2035 de l'objectif des 50 % de nucléaire dans la production d'électricité, nous allions au-devant d'incertitudes et de tensions encore plus fortes qu'il y a quelques années. Cela se confirme au détour de notre débat.
Dès 2015, les députés communistes ont affirmé que leur position sur l'objectif des 50 % dépendait de la sécurité d'approvisionnement des Français en électricité.